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1.
Infectious Diseases Now ; 51(5, Supplement):S148, 2021.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1336516

RESUMEN

Introduction La pandémie COVID-19 a bouleversé le quotidien de chaque professionnel de santé (PS) dans sa vie personnelle et professionnelle, en particulier durant la 1ère vague marquée par un confinement drastique, une pénurie en équipements de protection mais aussi beaucoup de solidarité tels « les applaudissements de 20heures ». Le but fut d’évaluer la résultante de cela sur la qualité de vie (QV) perçue par les PS hospitaliers. Matériels et méthodes Étude « hors Loi Jardé », prospective, non interventionnelle, sous forme d’un auto-questionnaire anonyme proposé en mai 2020 à tous les PS d’un CHU d’une région alors de moyenne endémie SARS-CoV-2 ayant ouvert 200 lits dédiés et mobilisé 1000 PS en renfort sur 4 mois. Elaboration du questionnaire par le team d’infectiologie, validation par les instances, généralisation en ligne (Lime Survey) via Intranet et Facebook. En environ 10minutes 71 items dont 27 échelles visuelles (0 à 10) et 5 cadres libres comparant la QV personnelle et professionnelle à celle des mois antérieurs. Cotations 6 à 10 considérées comme positives. Résultats Sur 794 réponses (11 % des PS du CHU) 259 par IDE, 228 d’autres soignants, 179 de médecins et 55 de cadres de santé, dont 311 (39 %) en unités dédiées COVID (155 permanents et 156 renforts). Cohorte surtout jeune (moyenne: 41 ans), féminine (80 %), en couple (90 %), chargée d’enfant (73 %), en maison (72 %) au CHU depuis >5 ans (79 %). Retentissement sur la vie personnelle du confinement jugé acceptable sur le plan matériel et relationnel respectivement par 76 % et 56 %. QV professionnelle s’abaissant moins sur le plan matériel (58 % vs 62 avant) que relationnel (70% vs 81). Globalement engagement dans la lutte contre l’épidémie évalué important par 72%, 50% se sentant valorisé, 82 % davantage fatigué, 69% vivant la période comme plus difficile professionnellement et 68% personnellement. Chez ceux confrontés aux cas (en unité dédié ou sous forme sporadique ailleurs) 72 % se disant à l’aise dans la pratique et 71 % bien protégés. Relation patient (COVID ou non) vécue différente par 47 %. Encouragements en tant que PS exprimés à 63% surtout par la famille;stigmatisation de 19 % surtout par des quidams. Réponses libres par 147 (18 %) des répondants, riches, pointant les failles mais aussi la solidarité. Conclusion Ce questionnaire sur la QV des PS a intéressé pas seulement ceux impliqués dans la gestion d’unités COVID, soulignant que beaucoup souhaitaient témoigner sur ce temps particulier à un moment où la fin de crise pouvait être espérée prochaine. Malgré « les protocoles changeant », « le manque de matériel », « le bouleversement des habitudes et repères » mais grâce au « soutien entre équipes » « à la période riche avec les patients et entre soignants » le bilan global s’avère contrasté avec une QV finalement pas plus altérée professionnellement que personnellement. L’analyse se poursuit par une comparaison selon le métier, le lieu d’affectation (unité COVID ou non) et les modalités d’exercice (habituel ou renfort).

2.
Rev Med Interne ; 42(6): 401-410, 2021 Jun.
Artículo en Francés | MEDLINE | ID: covidwho-1258490

RESUMEN

Viral infections may involve all ocular tissues and may have short and long-term sight-threatening consequences. Among them, ocular infections caused by herpesviruses are the most frequent. HSV-1 keratitis and kerato-uveitis affect approximately are the leading cause of infectious blindness in the Western world, mainly because of corneal opacification caused by recurrences. For this reason, they may warrant long-term antiviral prophylaxis. Herpes zoster ophthalmicus, accounts for 10 to 20% of all shingles locations and can be associated with severe ocular involvement (keratitis, kerato-uveitis) of which a quarter becomes chronic/recurrent. Post herpetic neuralgias in the trigeminal territory can be particularly debilitating. Necrotizing retinitis caused by herpesviruses (HSV, VZV, CMV) are seldom, but must be considered as absolute visual emergencies, requiring urgent intravenous and intravitreal antiviral treatment. Clinical pictures depend on the immune status of the host. Adenovirus are the most frequent cause of infectious conjunctivitis. These most often benign infections are highly contagious and may be complicated by visually disabling corneal lesions that may last over months or years. Some arboviruses may be associated with inflammatory ocular manifestations. Among them, congenital Zika infections may cause macular or optic atrophy. Conjunctivitis is frequent during the acute phase of Ebola virus disease. Up to 15% of survivors present with severe chronic inflammatory ocular conditions caused by viral persistence in uveal tissues. Finally, COVID-19-associated conjunctivitis can precede systemic disease, or even be the unique manifestation of the disease. Utmost caution must be taken because of viral shedding in tears.


Asunto(s)
Infecciones Virales del Ojo/complicaciones , COVID-19/complicaciones , Conjuntivitis Viral/virología , Retinitis por Citomegalovirus/complicaciones , Infecciones Virales del Ojo/prevención & control , Fiebre Hemorrágica Ebola/complicaciones , Herpes Zóster Oftálmico/epidemiología , Herpes Zóster Oftálmico/prevención & control , Humanos , Inmunocompetencia , Huésped Inmunocomprometido , Neuralgia Posherpética/etiología , Retinitis/tratamiento farmacológico , Retinitis/virología , Enfermedades del Nervio Trigémino/complicaciones , Enfermedades del Nervio Trigémino/virología , Infección por el Virus Zika/complicaciones
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